L'HISTOIRE DE L'AVENIR

Dans cette page, on retrace brièvement l’histoire de la municipalité et on présente quelques données statistiques tirées de l’inventaire architectural réalisé en 2009. On peut également y indiquer les différentes actions de la municipalité en matière de patrimoine.

Érection canonique :

18 décembre 1861

Érection civile :

9 juin 1862

Population :

1449 personnes (2023)

Origine du nom :

 La municipalité est nommée en l’honneur du journal L’Avenir fondé à Montréal en 1847 par Jean-Baptiste-Éric Dorion. Le journaliste Dorion a été maître de poste et il a donné au bureau de poste puis au village le nom de l’Avenirville. Le journal L’Avenir, qualifié d’ « organe des esprits forts », a vu sa dernière parution en 18521.

À l’aube du 19e siècle, 17 familles abénaquises ont reçu des autorités coloniales 10 000 arpents de terres dans le canton de Durham. En échange, les Abénaquis doivent s’établir sur ces lots et cultiver la terre sans avoir le droit de la vendre ou de la louer.

L’établissement des Abénaquis dans cette région a créé deux villages ; le plus peuplé étant à L’Avenir à l’intersection du 2e rang et de la route Boisvert et l’autre situé à proximité de la rivière noire. Cette présence autochtone a été de courte durée puisque le recensement de 1831 dénombre 49 fermiers et chasseurs dans le canton de Durham alors qu’il n’en reste que 26 en 1851. Les peuples autochtones ont laissé leurs traces sur le territoire de la municipalité notamment avec le cimetière abénaquis situé au « Bec de Canard ». Il y a également eu un autre cimetière autochtone et on pense qu’il est situé près de la route Boisvert et de l’ancien rang 2 (boulevard Allard)2. Enfin, c’est seulement en 1802 que Joseph Bouchette a arpenté le territoire et que les premiers Eurocanadiens sont arrivés sur le futur site de L’Avenir.

Les premiers colons du canton de Durham sont les Loyalistes américains William Cross et Phinela Latting. Quelques années plus tard, Webber Reed s’est installé à la Longue Pointe en 1812. La présence irlandaise et anglophone a été particulièrement importante à L’Avenir. Toutefois, les Canadiens français catholiques sont majoritaires dans les années 1870 et ils le sont toujours demeurés par la suite. En 1901, les francophones représentent 73% de la population et les catholiques 81%3.

La famille Husk fait partie des pionnières de la région de L’Avenir. John Husk, un ancien soldat, a été le premier de sa famille à être inhumé dans le cimetière privé situé sur la terre familiale. Il semblerait que des autochtones soient aussi enterrés à cet endroit notamment Charles Lawless. Actuellement, ce cimetière est toujours entretenu par la famille Husk et il est possible de le visiter près de la courbe du rang 1. On peut y observer une grosse pierre où tous les noms des défunts sont inscrits. La famille Husk a aussi été en charge de la traverse L’Avenir-Kingsey. En effet, c’est Cyrus Husk, le petit fils de John, qui a fait fonctionner la traverse pendant bon nombre d’années tout comme Ray Husk4.

Avant d’obtenir leur propre chapelle, les premiers colons de L’Avenir se rendent à la mission Saint-Pierre-de-Wickham pour y effectuer leurs devoirs religieux. Toutefois, la population grandissante de L’Avenir et la distance de 12 à 15 milles à parcourir pour se rendre au lieu de culte entraînent le déménagement du site de la chapelle. Le nouveau lieu de culte est situé à L’Avenir grâce à l’influence du missionnaire Joseph-Hercule Dorion et d’autres personnes. Cette mission prend le nom de Saint-Pierre-de-Durham et la construction de la première chapelle est terminée en 1849. L’érection de l’église débute cinq ans plus tard. Le bois et les briques sont offerts par les généreux paroissiens. Une briqueterie, située sur la terre de J.-P. Boisvert sur la route 143, fournit également plusieurs briques pour la construction du temple religieux. L’église actuelle est construite par Alfred Giroux en 1904-19055. 

La fabrique de Saint-Pierre-de-Durham est en charge du site historique du cimetière de l’ancienne mission Saint-Pierre-de-Wickham. Ce site renferme le beffroi contenant l’ancienne cloche de la chapelle démolie. Ce monument est l’œuvre des frères Joseph O. et Olivier N. Caya qui se sont beaucoup impliqués dans la commémoration de la disparition de la chapelle de Saint-Pierre-de-Wickham. Depuis 1971, l’entretien de ce site est assuré par Ubald Grondin de Drummondville qui en a également assumé les frais6.

Du côté des anglophones, la plupart sont de rite anglican et cette communauté compte 83 fidèles en 1869. Deux ans plus tard, l’église anglicane St. Paul’s est érigée sur une terre donnée par William Montgomery. Une nouvelle église est construite en 1893, l’ancienne étant trop exiguë7. Le cimetière St. Paul’s est toujours présent en face de la bute, site de l’ancienne chapelle. Plusieurs pierres tombales sont retapées et la gestion du site est assurée par la fabrique anglicane d’Ulverton.

En 1861, il y a cinq écoles dans le canton de Durham et 152 enfants qui les fréquentent. L’Institut des Artisans de J.-B.-É. Dorion a abrité une école catholique française de 1859 à 1869. Au total, il y a eu 11 écoles de rang. L’école centrale comprenant huit classes est entrée en fonction en 19568.

Un couvent dirigé par les sœurs de l’Assomption est bâti au village en 1896. Il est situé sur le terrain de l’ancien cimetière et il est ravagé par le feu en 1925. Le bâtiment est reconstruit deux ans plus tard. La diminution du nombre d’élèves s’est fait sentir dès 1942 mais le couvent est demeuré en fonction jusqu’en juillet 1971. Il est démoli deux ans plus tard9. 

Le développement des routes a débuté avec The King’s Highway (route 143) puisque les colons s’en préoccupent dès 1823. Ensuite, c’est la route McGiveney en 1845 et la route Ployart en 1850 qui sont ouvertes à la circulation en plus des chemins donnant accès aux nombreux rangs10.

Il y a également deux traverses par bac à L’Avenir reliant les deux rives de la rivière Saint-François. La première traversée entre L’Avenir et Saint-Lucien s’est réalisée en 1864 à la traverse McLean située au bout de la route Boisvert. Le premier propriétaire de cette traverse est John McLean et c’est son petit fils John Saint-Clair McLean qui prend la relève dès 1870. Cette famille possède son cimetière privée au coin du rang 1 et de la route Boisvert. Après plusieurs années à la barre de l’entreprise familiale, John Saint-Clair Mc Lean vend la traverse à Calixte Jutras en 1888. La famille Jutras s’est occupée de la traverse pendant bon nombre d’années avant de cesser ses activités en 1947 à cause du manque de financement. Une deuxième traverse relie L’Avenir à Saint-Félix-de-Kingsey et elle porte le nom de Cyrus Husk. En 1922, les prix fixés pour franchir l’autre rive sont de 20 cents pour une voiture légère, 35 cents pour une automobile et pour une voiture à deux chevaux. Ce raccourci entre L’Avenir et sa municipalité voisine a été d’une grande importance et un pont est même réclamé en 1945 mais cette requête est demeurée lettre morte11.

Le chemin de fer a aussi fait l’envie des résidants de L’Avenir. À l’été 1868, E.-J. Hemming et L.-A. Senécal, qui furent tous deux députés de Drummond-Arthabaska, souhaitent la construction d’une ligne de chemin de fer qui va « relier le centre du Québec aux grands centres industriels de la Nouvelle-Angleterre ». Hemming a tenté de convaincre les conseils municipaux de financer un projet de chemin à rails de bois en raison d’économies substantielles générées par l’utilisation du bois en remplacement du fer. La municipalité de L’Avenir a donc consenti un prêt de 6000$ à la Richelieu, Drummond and Arthabaska Counties Railway (RDA) en exigeant que la ligne traverse le territoire de L’Avenir12. La voie ferrée est déjà en service à l’automne 1871 entre Sorel et Drummondville. Le tronçon liant Drummondville à L’Avenir est communément appelé la « petite ligne ».

Les premières déceptions quant la ligne de la RDA ont résulté du fait la compagnie n’a pas construit de voie ferrée vers les grands centres. Seul le port de Sorel permet de rejoindre les marchés de Québec et de Montréal. La RDA est fusionnée en 1872 et vendue à la South Eastern Railway (SER) qui a choisi Acton Vale comme nouveau point de jonction pour rejoindre le Grand Tronc. Avec ce nouveau malheur, tous les espoirs d’accéder à une ligne transnationale se dissipent. À cela s’ajoute l’effondrement d’un pont sur la « petite ligne » causé par une explosion détruisant du même coup le moulin à scie de Jos Boisvert en 1873. Trois années passent avant que la SER reconstruise ce pont. En outre, les rails de bois déjà amplement usés demandent aussi à être remplacés, ce qui est fait en 1882 pour la « petite ligne ». Toutefois, les rails de fer ne se rendent pas au-delà de Wheatland puisque la SER et son président ont déclaré faillite en 1883. Le nouvel acquéreur est la Canadian Pacific Railway (CPR), l’actionnaire majoritaire de la SER. Toutefois, les entrepreneurs du CPR ne jugent pas la « petite ligne » rentable et ils souhaitaient s’en départir en 1891. Une raison d’abandonner cette ligne leur est servie sur un plateau d’argent lorsque le pont enjambant la rivière Yamaska s’effondre entre Sorel et Saint-Guillaume. Le CPR refuse même toutes les subventions gouvernementales pouvant aider à la reconstruction du pont. Les rails de la « petite ligne » sont retirés en 1894. Celle-ci n’a pas offert de service régulier entre 1871 et 189413Les seuls vestiges de cette « petite ligne » sont les poteaux électriques situés dans le champ qui sont visibles de la route 143 au moins entre Saint-Nicéphore et L’Avenir.

L’Avenir a été une terre d’immigration au milieu du 19e siècle mais le vent a tourné et cette municipalité a perdu 30% de sa population entre 1871 et 1911. Plusieurs familles francophones de la Baie-du-Febvre et de Saint-François-du-Lac ont immigré à L’Avenir puisque la municipalité est réputée pour ses terres fertiles et son élevage rentable des animaux à bœuf de race « Durham ». Le commerce des animaux a représenté l’âge d’or de L’Avenir avant la fin du traité de réciprocité avec les États-Unis14. Par la suite, la chute de l’économie du bois et l’échec d’un chemin de fer transnational rejoignant les États-Unis ont créé bien des déceptions et des départs.

L’industrie forestière a été au cœur de l’économie pour les pionniers. Plusieurs moulins à scie se sont établis dans la région. Joseph Boisvert est propriétaire d’un moulin à scie alors que son frère, Pierre, exploite un moulin à farine. Le moulin à scie du 3e rang est toujours en fonction en 1950. Le bois et la farine sont acheminés à Drummondville et à Québec. L’intérêt pour l’industrie forestière a conduit les gens de L’Avenir à négliger les terres agricoles et lorsque le commerce du bois a tiré à sa fin, ils ont vécu une période difficile avant de réorienter l’économie de la municipalité15.

Plusieurs autres industries sont exploitées notamment une mine de cuivre vers les années 1860 sur le lot 21 du 7e rang de Durham. Toutefois, le coût trop élevé du transport entrave la rentabilité de l’industrie. La mine d’Édouard Charpentier dans le 6e rang a eu une plus longue vie puisqu’elle est seulement vendue en 1965. Il y a également eu au moins cinq fromageries dans les rangs de L’Avenir. Joseph Samson a laissé sa marque dans cette industrie puisqu’il a œuvré dans trois fromageries différentes, six jours par semaine et il s’y rend même à pied. Dans les années 1890, une tannerie et des cordonniers offrent aussi leurs services à la population des environs16. Une tannerie est encore en fonction à L’Avenir mais sa spécialisation n’est pas la même que celle des tanneries d’antan. En fait, il y a souvent eu une tannerie dans les villages afin de travailler le cuir alors que maintenant c’est davantage le cas de la fourrure. La tannerie de L’Avenir est la propriété d’André Benoît et de sa femme Danielle. Ils ont décidé de se spécialiser dans le traitement de petites quantités de fourrures pour s’adapter à la demande des clients. Les peaux qu’ils tannent proviennent d’un peu partout que ce soit de Terre-Neuve ou même d’Afrique (un canadien qui a fait un safari leur a demandé de tanner une peau de girafe). Ils tannent aussi les peaux d’ours polaires. Leur tannerie existe depuis 1986 et elle est située sur la rue O’Brien17.

Au début du 20e siècle, les agriculteurs se consacrent principalement à la culture du foin qui s’avère beaucoup plus lucrative que l’industrie laitière. Les terres consacrées à la culture du foin ont été multipliées par quatre afin d’exporter ce produit dans les villes et aux États-Unis de 1871 à 1921. Quelques autres cultivateurs se sont tournés vers l’industrie laitière. Dans les années 1980, il y a environ 80 producteurs agricoles et la production laitière reste minoritaire. Plusieurs personnes ont choisi de travailler dans les usines environnantes, c’est-à-dire dans les villes de Drummondville, Richmond ou Valcourt18.

La municipalité de L’Avenir comprend de nombreux commerces et offre plusieurs services en 1871. Au cœur du village se trouvent une école, deux églises, deux magasins généraux, un hôtel, un bureau de poste, une scierie, quatre cordonniers, deux forgerons, deux selliers, un charron, un voiturier et un tonnelier. Dans le domaine de la construction on peut obtenir les services d’un architecte, d’un maçon, d’un fabricant de fenêtres et de quatre menuisiers. Plusieurs professionnels habitent aussi L’Avenir notamment, un huissier, un médecin et deux notaires. Il y a même eu deux modistes afin de fabriquer les chapeaux des dames19.

Parmi les personnes influentes ayant marqué L’Avenir on retrouve Jean-Baptiste Éric Dorion. En fait, il a contribué de plusieurs façon au développement de la municipalité par exemple en lui donnant le nom de son journal, en offrant son aide pour la construction de l’église et du presbytère en 1853 et en étant député de Drummond de 1854 à 1858 et réélu en 1861 et 1863. J.-B.-É. Dorion a aussi fondé, en 1856, l’Institut des Artisans qui s’est inspiré de l’Institut Canadien de Montréal et de ses idées anticléricales. Dès 1857, la plupart des membres de l’Institut des Artisans se prononcent en faveur des écoles non confessionnelles. L’Institut des Artisans possède une bibliothèque et l’endroit sert de lieu de rassemblement pour discuter de questions politiques, économiques ou sociales. En 1862, J.-B.-É. Dorion a fondé Le Défricheur, le premier journal francophone des Cantons-de-l’Est. Ce journal est caractérisé par son militantisme et son intérêt pour les agriculteurs20.

Le notaire et écrivain Joseph-Charles Saint-Amant est une autre personnalité célèbre de L’Avenir dont la bibliothèque municipale a hérité du nom. J.-C. Saint-Amant a collaboré au journal hebdomadaire «Le courrier du Canada »21 et il a fait œuvre de pionnier en rédigeant Un coin des Cantons de l’est qui demeure une référence sur l’histoire de la région.

Pour en savoir davantage sur cette municipalité, il suffit de consulter le www.municipalitelavenir.qc.ca.

PATRIMOINE

Voici quelques statistiques tirées de l’inventaire architectural de la MRC.

Type et nombre de biens répertoriés

Répartition selon le type de bien répertorié

Bâtiment principal

Bâtiment secondaire

Cimetière

Croix de chemin

Paysage et point de vue

Pont

76

31

4

8

1

1

 

Une cote22 est attribuée à chaque bâtiment principal et elle tient compte de l’intérêt architectural, patrimonial, culturel et historique du bâtiment.

Répartition selon la cote attribuée aux bâtiments principaux

 

L’Avenir

MRC

Cote

Nombre

%

%

CC

34

35 %

44 %

C

15

15 %

19 %

CR

12

12 %

10 %

BN

7

7 %

8 %

B

3

3 %

2 %

E

1

1 %

0 %

BB

1

1 %

2 %

D

2

2 %

1 %

 

L’année de construction est une information souvent difficile à obtenir parce que peu documentée au fils du temps. Nous avons donc indiqué, le cas échéant, une date approximative selon l’état actuel du bâtiment.

Répartition selon la date de construction

 

L’Avenir

MRC

Période

Nombre

%

%

1851-1900

46

60 %

57,7 %

1901-1950

25

33 %

35,5 %

1800-1850

5

7 %

5, 3%

1951 et +

0

0 %

1,5 %

 

En ce qui concerne la description stylistique, 23 styles différents ont été pré-identifiés. Ce sont des styles reliés essentiellement à l’architecture traditionnelle que l’on retrouve principalement en milieu rural. Lorsqu’un bâtiment mélange plusieurs styles et qu’il est difficile de l’associer à un style particulier, nous avons utilisé la catégorie « Autre ».

Répartition selon le style architectural

 

L’Avenir

MRC

Style

Nombre

%

%

Autre

16

21 %

13 %

Vernaculaire américain

13

17 %

18 %

Maison de colonisation

13

17 %

18 %

Maison à lucarne-pignon

10

13 %

13 %

Québécois (Régency)

4

6 %

3 %

Vernaculaire boîte carrée

4

6 %

4 %

Maison à mansarde

4

6 %

4 %

Commercial utilitaire

3

4 %

2 %

Queen Ann

2

2 %

1 %

Vernaculaire commercial

2

2 %

1 %

Boomtown

1

1 %

1 %

Géorgien

1

1 %

2 %

Renouveau classique

1

1 %

1 %

Second empire

1

1 %

1 %

Arts et métiers

1

1 %

1 %

Victorien

1

1 %

0 %

 

Il est possible de consulter la section Inventaire architectural de la MRC pour accéder au module de recherche qui permet d’en savoir davantage sur certains biens patrimoniaux répertoriés dans cette municipalité.

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1Joseph-Charles Saint-Amant, Un coin des Cantons de l’Est, Drummondville, La Parole, 1932, p. 275 et Hormisdas Magnan, « Dictionnaire historique et géographique des paroisses, missions et municipalités de la Paroisse de Québec », [En ligne] https://www.ourroots.ca/e/page.aspx?id=344578, 1925, Arthabaska p. 637, page consultée le 25 février 2009.

2 Comité du livre, L’Avenir hier… aujourd’hui…, Cap-de-la-Madeleine,Les Éditions souvenances inc., 1986, p. 85 et Statuts du Canada, vol. 14, p. 687 dans Yolande Allard, La Pointe Allard. Une terre promise au cœur des Cantons de l’Est du XIXe siècle, Montréal, Éditions Histoire Québec, Coll. « Société d’histoire de Drummondville », 2003, p. 24.

3 Comité du livre, L’Avenir hier…, p. 85 et Y. Allard, La Pointe Allard…, p. 32.

4 S. A., The Townships Sun, « He has the St. Francis River in his blood », p. 2.

5 Comité du livre, L’Avenir hier…, p. 12, 17-18 et 20.

6 Marie-Claire Caya Grondin, L’Avenir hier…, p. 15.

7 Rodney A. Clark, Our Saints and our Stories. A History of the Churches in the Greater Parish of St. Francis of Assisi, p. 10.

8 Comité du livre, L’Avenir hier…, p. 51 et 59 et Johanne Ménard, « L’institut des Artisans du comté de Drummond, 1856-1900», Recherches sociographiques, vol. 16, no 2, 1975, [En ligne] https://id.erudit.org/iderudit/055689ar, page consultée le 16 mars 2009, p. 209.

9 Comité du livre, L’Avenir hier…, p. 26 et 29.

10 Comité du livre, L’Avenir hier…, p. 69.

11 Comité du livre, L’Avenir hier…, p. 70-72, Daniel Descôteaux, Autour du clocher de Kingsey, Sherbrooke, s. é, 1978, p. 23 et Yolande Allard, McLean, Jutras, Forest, 31 juillet 2005.

12 J.-C. Saint-Amant, Un coin des Cantons…,p. 235 dans Y. Allard, La Pointe Allard…, p. 34.

13 Jean-Pierre Bélanger, Une bonne entente en dents de scie. Une histoire interculturelle de Drummondville 1815-1950, Drummondville., Société d’histoire de Drummondville, 1998, p. 100 et 102, Le Messager de Sorel, juin 1873 dans Y. Allard, La Pointe Allard…, p. 37, M. Milot, Brève histoire du service ferroviaire du CP Rail à Drummondville, 15 mars 1998 et Y. Allard, La Pointe Allard…, p. 34, 36-37.

14 Comité du livre, L’Avenir hier…, p. 85, J.-C. Saint-Amant, Un coin des Cantons…,p. 255 et Y. Allard, La Pointe Allard…, p. 34.

15Carte topographique de 1950, Department of National Defence 31-H-09, Comité du livre, L’Avenir hier…, p. 87 et J.-C. Saint-Amant, Un coin des Cantons…,p. 256.

16 Comité du livre, L’Avenir hier…, p. 86 et 89.

17 Entrevue téléphonique avec André Benoît, 3 mars 2009.

18 Comité du livre, L’Avenir hier…, p. 94 et Jean Lamarre, Les Canadiens-français du Michigan- Leur contribution dans le développement de la vallée de la Saginaw et de la péninsule de Keweenaw 1840-1914, Québec, Septentrion, 2000, p. 438 dans Y. Allard, La Pointe Allard…, p. 109.

19 Quebec directory, 1871, p. 245 dans Y. Allard, La Pointe Allard…, p. 33.

20 Assemblée nationale du Québec, « Jean-Baptiste-Éric Dorion », [En ligne] https://www.assnat.qc.ca/fra/membres/notices/d/DORIJBE.htm, mise à jour en février 2009, page consultée le 23 septembre 2009, Comité du livre, L’Avenir hier…, p. 47 et J.-C. Saint-Amant, Un coin des Cantons…,p. 275, 284 et 292.

21 Thérèse Bégin, Si mon comté m’était conté, Les éditions Gilles Allard inc., octobre 1994, p. 38.

22 Signification des cotes :

A : Intérêt patrimonial exceptionnel reconnu

AA : Intérêt patrimonial exceptionnel

B : État très proche de l’original, intérêt historique et/ou culturel

BB : État très proche de l’original, sans intérêt historique et/ou culturel

BN : État très proche de l’original, sans intérêt architectural

C : Ayant subi des altérations mineures, mais modèle original identifiable

CC : Ayant subi des altérations majeures, mais modèle original identifiable

CR : Ayant subi des altérations majeures, sans respecter le caractère original

D : En rupture (ne respecte pas l’environnement architectural) à conserver

E : En rupture (ne respecte pas l’environnement architectural) à recycler