L'HISTOIRE DE SAINT-GERMAIN-DE-GRANTHAM

Dans cette page, on retrace brièvement l’histoire de la municipalité et on présente quelques données statistiques tirées de l’inventaire architectural réalisé en 2009. On peut également y indiquer les différentes actions de la municipalité en matière de patrimoine.

Érection canonique :

29 juin 1856

Érection civile :

6 septembre 1856

Population :

5048 personnes (2023)

Origine du nom :

C’est en l’honneur de Germain Sylvestre, un des premiers colons de la région, que la paroisse est mise sous le patronage de saint Germain1.

La moitié du canton de Grantham est accordée au loyaliste William Grant et à sa trentaine d’associés le 4 décembre 1799 avec l’accord du lieutenant-gouverneur Robert Shore Milnes. Le territoire obtenu comprend 129 lots et s’étend sur 36 400 acres. William Grant est un marchand d’origine écossaise s’intéressant aussi à la politique. Son mariage avec Marie-Anne Catherine Fleury Deschambault ne lui a donné aucun enfant. À la mort de William Grant en 1805, son neveu Charles William Grant refuse la succession en raison des dettes trop élevées venant avec l’héritage. C’est en 1808 que les terres saisies de Grant ont trouvé un nouveau propriétaire avec l’écossais John Richardson. Il est l’exécuteur testamentaire de Grant. Ce marchand fortuné, fondateur de la Banque de Montréal, est aussi le mari de la riche nièce du défunt : Sarah Ann Grant2.

Richardson a conservé ses terres pendant quelques années avant d’accepter en 1815 l’offre de Frederick George Heriot. Selon cette proposition, Richardson céderait 108 lots de terre dans les six premiers rangs du canton en échange de plus de terres situées davantage au sud du canton. Par cet arrangement, Heriot obtient les territoires requis afin d’établir des vétérans de la Guerre de 1812. Richardson et sa succession ont longtemps conservé leurs « nouvelles » terres dans le canton. La vente de ces terres à des prix élevés a contribué à la fortune des héritiers de Richardson. Toutefois, la loi municipale de 1855 consistant à taxer « à valeur égale les spéculateurs terriens » pour financer le développement et l’entretien du réseau routier, a incité plusieurs spéculateurs à renoncer à leurs terres plus hâtivement avec la diminution des profits3.

L’établissement des vétérans de la guerre dans les cantons de Grantham n’a pas donné de résultat à long terme. Plusieurs soldats du corps des Voltigeurs se sont installés entre les 4e et 6e rangs de Saint-Germain mais dès le début des années 1820, il n’en reste plus que huit tellement le processus d’obtention des lettres patentes se révèle long et pénible. Des vétérans du Régiment de Meuron se sont aussi établis dans le canton de Grantham. Leur arrivée tardive dans le canton leur a laissé les terres les plus éloignées, c’est-à-dire celles qui ne se trouvent pas à proximité de la rivière Saint-François dans les 4e, 5e et 6e rangs. Les 53 anciens combattants de ce régiment totalisent 25% des concessionnaires du canton. Les soldats du régiment de Meuron n’ont pas conservé leurs terres beaucoup plus longtemps que ceux des Voltigeurs. En fait, le recensement de 1831 témoigne qu’il ne reste que deux vétérans des Voltigeurs et sept du régiment de Meuron. Les conditions difficiles dans lesquelles ils ont dû s’établir : maigres rations, peu de moyens financiers et les terres situées près de la rivière Noire peu propices à l’agriculture, ont provoqué leur départ. Les plus tenaces sont demeurés et ils ont participé à l’ouverture du chemin de Yamaska et à l’érection de la première chapelle Saint-Frédéric à Drummondville. Ils sont aidés des Canadiens français et des Irlandais établis dans la région qui réclament un prêtre résidant dès 1842. Quelques-uns des anciens soldats sont encore là lors de l’érection de la première chapelle de Saint-Germain4.

Enfin, l’évaluation de 1849 illustre que la plupart des lots des 6e, 7e et 8e rangs sont habités par des Anglais et des Canadiens français. D’autre part, l’évaluation de 1851 démontre que les 9e, 10e, 11e et 12e rangs du canton sont désormais ouverts5.

Certaines familles pionnières ont grandement influencé l’histoire de cette municipalité, c’est notamment le cas de la famille William Watkins qui a implanté des moulins dans la région. James Henry Watkins, le fils de William, a assuré la relève aux moulins pendant quelques années avant de se lancer dans l’exploitation d’un magasin général6. Le nom de la rue Watkins est sûrement inspiré de ces pionniers.

Une autre famille qui a laissé sa marque est celle de Joseph Laferté. Ce marchand a acheté une partie du lot 9 sur le 7e rang avec une maison abritant un magasin. Il a été député provincial de 1901 à 1909 et maire de Saint-Germain de 1912 à 1916 et de 1918 à 1929. Son fils, Hector Laferté a été député de Drummond de 1916 à 1934. Il a occupé le poste de ministre de la Colonisation. La rue Laferté, située en face de l’église, est nommée en son honneur7.

Un concours de circonstances a presque provoqué le déménagement de la paroisse Saint-Frédéric à Saint-Germain. En 1849, le nombre d’habitants à Saint-Germain ne cesse de croître et l’abbé Joseph-Hercule Dorion n’est pas totalement satisfait de ses paroissiens. L’abbé a donc suggéré à Mgr Cooke de déplacer la paroisse Saint-Frédéric dans le rang 7 de Grantham, au centre du canton. Une pétition de 114 signataires est même parvenue à Mgr Turgeon lui demandant de déplacer la chapelle Saint-Frédéric en invoquant le fait qu’il y a trop peu de catholiques au village de Drummondville. Cependant, une autre pétition de 79 signatures s’oppose au déménagement de la chapelle. Ce litige s’avère difficile à trancher puisque les autorités religieuses craignent que les paroissiens de Saint-Frédéric perdent leur foi catholique si on leur enlève leur chapelle. L’inquiétude est encore plus grande du fait qu’ils sont entourés de protestants. Toutefois, la possibilité de perdre des paroissiens sur le futur territoire de Saint-Germain n’est pas écartée puisque la population catholique augmente rapidement dans cette région. L’archevêque Signay a finalement décidé que la chapelle Saint-Frédéric demeurerait au même endroit8.

Les résidants du rang 7 continuent de réclamer leur église par le biais de pétitions. Les habitants du village de Drummondville ne veulent plus entendre parler du déménagement possible de leur chapelle. Toutefois, ils ne s’objectent pas à l’érection d’une nouvelle paroisse, « à condition qu’on les laisse en paix avec leur église ». Une chapelle est donc construite en 1854 dans le milieu du rang 7. Cette agglomération est dénommée Headville en l’honneur du gouverneur général du Canada Sir Edmond Walker Head. Les paroissiens ont patienté jusqu’en 1864 avant d’obtenir leur première église en pierre qui est terminée en 1877. Cette église a été la proie des flammes en 1952. Le contrat de construction de la nouvelle église de style néogothique est octroyé à l’entrepreneur Arthur Fortin et à l’architecte Félix Racicot. Cette église est terminée en 1953 au coût de 300 000$ sans compter les 200 000$ supplémentaires nécessaires aux différents aménagements9.

L’évaluation de 1878 démontre qu’il y a une école au village et huit écoles de rang tandis qu’en 1895, on peut compter six écoles sur le territoire. Les écoles de rang sont bien réparties sur l’ensemble du territoire mais on remarque une plus forte concentration du côté de la frontière avec Saint-Edmond et un nombre moins élevé d’écoles près de la frontière avec Drummondville10.

En 1905, la fabrique a donné un terrain pour l’établissement d’un pensionnat dirigé par les Sœurs de l’Assomption. Un externat, réservé aux filles, est aussi construit sur un terrain adjacent. Le contrat de construction du couvent est octroyé à Louis Caron en 1906. Les Sœurs ont conservé le couvent jusqu’en 1969. Du côté des garçons, c’est l’École Jésus-Adolescent, sous la direction des Frères de l’Instruction chrétienne, qui les a accueillis dès 1952. C’est en 1958 que la Commission scolaire s’est procurée le terrain pour construire l’École Roméo-Salois, qui est agrandie en 198511. L’École Roméo-Salois et l’École Jésus-Adolescent sont toujours en fonction en 2009.

Quelques enseignantes ont travaillé pendant plusieurs années à l’éducation des jeunes germainois notamment Antoinette Joyal de 1947 à 1960, une religieuse de la communauté des Sœurs de l’Assomption, et Marcelle Bergeron de 1960 à 197212.

Vers 1824, le chemin de Yamaska est ouvert mais il s’avère plus ou moins carrossable. L’entretien du chemin localisé sur un rang double (6e et 7e rang), est assuré par les propriétaires résidants sur ces rangs. Le chemin de Saint-Hyacinthe, perpendiculaire au chemin de la Yamaska, s’est dressé progressivement et c’est à l’intersection de ces deux routes qu’a pris naissance le village de Headville. Ce nom a été visible dans les recensements au moins jusqu’en 1861 et il est utilisé jusqu’en 186713.

C’est en juillet 1871 que le chemin de fer reliant L’Avenir, Drummondville, Yamaska et Sorel est arrivé à Saint-Germain avec la Compagnie de Chemin à Lisses des comtés de Richelieu, Drummond et Arthabaska (RD&AC). La RD&AC a fusionné avec la South Eastern Railway en 1872. De nouveaux rails en fer sont installés en remplacement des anciens en bois. L’économie du village est ainsi favorisée par l’accessibilité au port de Sorel et par l’ouverture des marchés anglais et américains. En 1889, un nouveau chemin de fer reliant Drummondville à Saint-Hyacinthe, et passant à l’extérieur du village, est construit par la Drummond County Railway. Cette compagnie est ensuite vendue au gouvernement qui désire prolonger l’Intercolonial Railway. La ligne reliant Sorel à Drummondville est abandonnée en 1893. Il y a eu trois gares sur le territoire de Saint-Germain, une au village, une à l’intersection du 7e rang et une autre à la Duncan Station située au 12e rang14.

Le nombre sans cesse croissant d’habitants à Saint-Germain a généré un développement plus rapide de l’économie et des services à la population. En fait, la poussée démographique de Saint-Germain a même rendu la municipalité plus populeuse que la ville de Drummondville. En 1871, environ 2000 personnes résident à Saint-Germain contre 850 à Drummondville. Le recensement de Saint-Germain pour l’année 1871 démontre la présence d’une église, de huit écoles, de trois forgerons et du docteur Jean-Baptiste Comeau15.

La voie ferrée a également permis un essor sur le plan économique. Le négociant Watkins possède un moulin à scie et un autre à moudre le grain vers 1872. Cette industrie a rentabilisé le défrichement des terres en plus de créer des emplois. Une fois les ressources forestières pratiquement épuisées, l’économie s’est principalement développée autour de l’agriculture à l’aube du vingtième siècle. L’économie s’est donc tournée vers la culture de foin, d’avoine, de blé et vers le développement de l’industrie laitière via les fromageries et les beurreries16.

La Première Guerre mondiale (1914-1918) a aussi créé de nouveaux emplois. Plusieurs cultivateurs germainois sont engagés par l’usine de l’Aetna Chemical située à Drummondville. D’autres usines s’établissent à cet endroit et attirent la main-d’œuvre des municipalités avoisinantes. Bon nombre de ces travailleurs ont choisi de déménager en ville où des salaires hebdomadaires stables en ont fait rêver plus d’un. D’autres familles sont attirées par les États-Unis et s’y rendent en train. Certaines familles sont revenues à Saint-Germain à la suite de la crise économique de 1929 alors que les Canadiens français sont « chassés » des États-Unis et vus comme des « voleurs d’emplois »17.

En dépit de la crise, les Germainois ont continué de pratiquer l’agriculture. La coopérative agricole est créée en 1938 et elle s’est illustrée comme « une des plus importantes fabriques de beurre et de fromage de la région »18. Le feu a ravagé le bâtiment le 22 juillet 1956. Cette coopérative est reconstruite et elle a cumulé un chiffre d’affaires de quatre millions en 1964. La reconnaissance de ses produits de qualité est soulignée à l’exposition de Sherbrooke et à celle de Victoriaville où la coopérative a gagné le 1er prix en 196519.

Le village de Saint-Germain a connu des développements importants. Plusieurs commerces et services s’y trouvent en 1897 : une gare, un pont en maçonnerie, une école, l’hôtel Bastichs, l’hôtel CPR, un magasin général, deux boulangeries, une beurrerie-fromagerie, deux tanneries, deux voituriers, le moulin à planer de W. G. Watkins et F. Landry, le moulin à scie de W. G. Watkins et un bâtiment nommé « Scales »20. La présence des deux moulins de Watkins témoigne de la prospérité de son commerce et de la possibilité d’exporter le bois via la voie ferrée.

En 1988, la mairie s’est dotée d’un local en achetant l’hôtel Manoir Saint-Germain situé sur le chemin Yamaska. D’autre part, la bibliothèque a obtenu de nouveaux locaux en 1996 en utilisant l’ancien presbytère21. En 2019, on inaugure le nouveau Centre des loisirs Emballages Box Pack, situé derrière l’école primaire du village.

Parmi les personnalités marquantes de Saint-Germain, on retrouve Roland Rajotte, fils d’Hermann Rajotte et de Bernadette Joyal. Il a remporté le concours du plus bel athlète de Drummondville en 1947 et un an plus tard, celui du plus bel athlète du Canada. Sa photo s’est retrouvée à la une de la revue parisienne La Culture Physique en juillet 1949. Une autre personnalité connue de Saint-Germain est Jean-François Blanchard, fils de René Blanchard et de Michèle Hodoin. Il s’est illustré en tant que comédien autant dans des commerciaux que dans des téléromans ou miniséries comme Bombardier. Il a aussi joué dans les productions cinématographiques suivantes : Vent de galerne et 15 février 1839 de Pierre Falardeau. Enfin, le député péquiste Michel Clair est né à Saint-Germain et il a défendu le comté de Drummond pendant plusieurs années. Ce politicien a porté le chapeau de ministre du Revenu, ministre des Transports et de ministre de l’Énergie et des Ressources22. Michel et Raymond Clair ont déjà voulu utiliser l’école de rang numéro 2 sur le chemin Yamaska pour en faire un musée. Cette école est la plus ancienne de la municipalité et elle a servi lors des réunions des francs-tenanciers au sujet de la fondation de Saint-Germain. Les coûts trop élevés reliés à la restauration du bâtiment ont eu raison du projet. L’école a même été détruite juste avant les fêtes du 150e anniversaire de la municipalité.

Pour en savoir davantage sur cette municipalité, il suffit de consulter le www.st-germain.info.

PATRIMOINE

Voici quelques statistiques tirées de l’inventaire architectural de la MRC.

Type et nombre de biens répertoriés

Répartition selon le type de bien répertorié à Saint-Germain-de-Grantham

Bâtiment principal

Bâtiment secondaire

Cimetière

Croix de chemin

Paysage et point de vue

Pont

65

20

1

1

0

0

Une cote23 est attribuée à chaque bâtiment principal et elle tient compte de l’intérêt architectural, patrimonial, culturel et historique du bâtiment.

Répartition selon la cote attribuée aux bâtiments principaux

 

Saint-Germain-de-Grantham

MRC

Cote

Nombre

%

%

CC

36

54 %

44 %

BN

9

13 %

8 %

C

8

12 %

19 %

D

5

7 %

1 %

CR

4

6 %

10 %

B

1

1 %

2 %

 

L’année de construction est une information souvent difficile à obtenir parce que peu documentée au fils du temps. Nous avons donc indiqué, le cas échéant, une date approximative selon l’état actuel du bâtiment.

Répartition selon la date de construction

 

Saint-Germain-de-Grantham

MRC

Période

Nombre

%

%

1851-1900

44

71 %

57,7 %

1901-1950

14

23 %

35,5 %

1800-1850

3

4 %

5, 3%

1951 et +

1

2 %

1,5 %

 

En ce qui concerne la description stylistique, 23 styles différents ont été pré-identifiés. Ce sont des styles reliés essentiellement à l’architecture traditionnelle que l’on retrouve principalement en milieu rural. Lorsqu’un bâtiment mélange plusieurs styles et qu’il est difficile de l’associer à un style particulier, nous avons utilisé la catégorie « Autre ».

Répartition selon le style architectural

 

Saint-Germain-de-Grantham

MRC

Style

Nombre

%

%

Maison à lucarne-pignon

19

28 %

13 %

Vernaculaire américain

11

16 %

18 %

Courant cubique

9

13 %

4 %

Maison de colonisation

8

12 %

18 %

Autre

6

9 %

13 %

Commercial utilitaire

3

4 %

2 %

Vernaculaire boîte carrée

2

3 %

4 %

Québécois (Régency)

1

1 %

3 %

Maison à mansarde

1

1 %

4 %

Vernaculaire commercial

1

1 %

1 %

Géorgien

1

1 %

2 %

Victorien

1

1 %

0 %

Anglo-normand

1

1 %

0 %

Colonial français

1

1 %

0 %

 

Il est possible de consulter la section Inventaire architectural de la MRC pour accéder au module de recherche qui permet d’en savoir davantage sur certains biens patrimoniaux répertoriés dans cette municipalité.

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1 Hormisdas Magnan, Dictionnaire historique et géographique des paroisses, missions et municipalités de la Paroisse de Québec, [En ligne] https://www.nosracines.ca/f/page.aspx?id=344977, 1925, Arthabaska, visité le 28 janvier 2008,p. 415.

2 Maurice Vallée, Saint-Germain-de-Grantham 1815-2006, Édition municipalité de Saint-Germain-de-Grantham, Montréal, 2006, p. 15-16.

3 M. Vallée, Saint-Germain-de-Grantham…, p. 16-18 et p.54.

4 M. Vallée, Saint-Germain-de-Grantham…, p. 23-24, 27-28, 32-33 et 52.

5 M. Vallée, Saint-Germain-de-Grantham…, p. 52 et 54.

6 M. Vallée, Saint-Germain-de-Grantham…, p. 185.

7 M. Vallée, Saint-Germain-de-Grantham…, p. 124.

8 M. Vallée, Saint-Germain-de-Grantham…, p. 53-54.

9 M. Vallée, Saint-Germain-de-Grantham…, p. 57-58, 61-62 et 137.

10 Carte topographique 31-H-16 de 1918 et 1944Department of National Defence, Jean Thibault, Le monde scolaire dans M. Vallée, Saint-Germain-de-Grantham…, p. 113 et Refonte cadastrale de 1895, Bureau de la Publicité et des Droits.

11J. Thibault, Le monde scolaire… dans M. Vallée, Saint-Germain-de-Grantham…, p. 116 et M. Vallée, Saint-Germain-de-Grantham…, p. 85, 87, 139 et 140.

12 M. Vallée, Saint-Germain-de-Grantham…, p. 227 et 236.

13 Jean Thibault, Chronique d’un demi-siècle. Saint-Germain-de-Grantham 1926-1975, Drummondville, Société d’histoire de Drummond, 2007, p. 127 et M. Vallée, Saint-Germain-de-Grantham…, p. 48 et 67.

14 M. Vallée, Saint-Germain-de-Grantham…, p. 70-71, 73 et 76.

15 M. Vallée, Saint-Germain-de-Grantham…, p. 70 et 125.

16 M. Vallée, Saint-Germain-de-Grantham…, p. 71-72, 78 et 80.

17 M. Vallée, Saint-Germain-de-Grantham…, p. 90-91.

18 La Parole, 10 février 1938 dans J. Thibault, Chronique d’un demi-siècle…, p. 38 et La Parole, 26 juillet 1956 dans J. Thibault, Chronique d’un demi-siècle…, p. 103.

19 La Parole, 24 mars 1965 dans J. Thibault, Chronique d’un demi-siècle…, p. 143.

20 Plan du village de Saint-Germain de 1897, Chas E. Goad, ingénieur civil.

21 M. Vallée, Saint-Germain-de-Grantham…, p. 141.

22 Assemblée nationale Québec, [En ligne] https://www.assnat.qc.ca/fra/membres/notices/c/claim.htm, mise à jour en décembre 2008, page consultée le 13 avril 2009 et M. Vallée, Saint-Germain-de-Grantham…, p. 144-145.

23 Signification des cotes :

A : Intérêt patrimonial exceptionnel reconnu

AA : Intérêt patrimonial exceptionnel

B : État très proche de l’original, intérêt historique et/ou culturel

BB : État très proche de l’original, sans intérêt historique et/ou culturel

BN : État très proche de l’original, sans intérêt architectural

C : Ayant subi des altérations mineures, mais modèle original identifiable

CC : Ayant subi des altérations majeures, mais modèle original identifiable

CR : Ayant subi des altérations majeures, sans respecter le caractère original

D : En rupture (ne respecte pas l’environnement architectural) à conserver

E : En rupture (ne respecte pas l’environnement architectural) à recycler